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Elections législatives La polémique reprend sur la date, les listes et le seuil de représentativité

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Elections législatives La polémique reprend sur la date, les listes et le seuil de représentativité Empty Elections législatives La polémique reprend sur la date, les listes et le seuil de représentativité

Message par Admin Jeu 11 Aoû - 15:33


Elections législatives La polémique reprend sur la date, les listes et le seuil de représentativité 11081110


La plupart des partis ont remis, mardi dernier, leurs copies concernant le projet de loi sur la révision des listes électorales. Toutefois, aucune nouvelle réunion n'a été programmée et les partis n'ont pas été avisés de l'agenda pour cette semaine. Entre-temps, les partis s'en donnent à cœur joie aux hypothèses sur la date des prochaines élections. Si le RNI les prévoient au 7 octobre prochain, avec à la clé une prémonition sur son score électoral (20% des voix), d'autres formations comme l'USFP ou encore le PJD estiment que le prochain scrutin législatif ne peut avoir lieu qu'au mois de novembre. Qui détient la vérité sur les délais ? Tout vient à point pour qui sait attendre. Les prochains jours nous le montreront autant que le rythme de programmation des lois électorales. En effet, après le projet de loi sur l'observation des élections, celui des partis, le projet de loi organique de la première chambre et celui portant sur la révision des listes, il ne reste plus que le code électoral et le découpage qui n'ont pas encore fait l'objet de discussions entre le ministère de l'Intérieur et les formations politiques. Plus encore, le calendrier peut même être allégé en faisant fi du code électoral. Selon Lahcen Daoudi, SG adjoint du PJD, «du moment où la plupart des dispositions du code ont été insérées dans le projet de loi sur la Chambre des députés, l'on ne voit plus l'opportunité de revoir le code électoral». Pour le responsable pjdiste, si l'on s'engage dans une révision du code, il va falloir plusieurs semaines pour en faire le tour. En effet, le code actuel traite de toutes les élections, locales, législatives, régionales, etc. Si on l'insert, en tant que tel, dans le circuit actuel des révisions, les partis doivent émettre leurs remarques et propositions sur plusieurs types d'élections à la fois.


Ce n'est pas très commode dans la mesure où l'attention doit être avant tout focalisée sur les élections parlementaires.
Tel n'est pas le cas pour le découpage électoral que les partis attendent impatiemment. Ils en ont besoin, comme l'affirme Daoudi, pour commencer à travailler sur les stratégies à adopter afin d'être sur les starting-blocks. C'est aussi une urgence pour bon nombre de partis qui l'attendent pour pouvoir entamer la longue tournée des congrès locaux. Justement pour une préparation optimale des listes locales ou nationales, les partis ont besoin de connaitre les nouveaux contours du découpage. D'ici-là, les formations politiques jouent l'équilibriste entre la contrainte de mettre des cadres sur leurs listes et celle de ménager les candidats historiquement bien implantés. C'est ainsi qu'à l'issue de la session extraordinaire du conseil national, tenu samedi dernier à Rabat, le parti de la lampe a opté pour une solution qui permet à son secrétariat général de décider de la composition des listes locales et la liste nationale à hauteur de 10%. S'il s'agit d'une décision consensuelle, elle n'en est pas moins contraignante pour le mécanisme de choix des candidats. Pour Daoudi, garder la main sur 10% des listes permettra au parti de compléter ses listes par des profils pointus pour une meilleure représentativité au sein de l'institution législative. Sur un autre registre, le PJD, à l'instar d'autres partis de gauche comme de droite, estime que l'on peut inscrire directement 5 millions de Marocains en âge de voter via la carte d'identité nationale (CIN). Pour Daoudi, les procédures normales d'inscription sont compliquées et risquent de prendre beaucoup de temps. Certes, ce sont désormais les juges qui vont présider les commissions administratives locales de révision des listes électorales pour plus de neutralité, mais il s'agit là d'une mesure qui doit s'accompagner d'autres à caractère technique pour que l'opération soit menée sans cahot.

Si les grands partis sont bien avancés sur la discussion des lois électorales, ceux qu'on qualifie de petits ne veulent pas lâcher du lest sur la question du seuil de représentativité fixé à 6% jusqu'à nouvel ordre. Ils veulent aujourd'hui se mettre en front pour contester un seuil qui les exclut du jeu politique, estime-t-on. Pour eux, créer un climat de frustration politique dans le Maroc de la nouvelle Constitution est un mauvais choix. Or, les grands partis ne l'entendent pas de cette oreille. Le PJD, par exemple, pousse le bouchon encore plus loin en optant pour un seuil à 6% au niveau national et pas uniquement local. Ce qui en d'autres termes veut dire qu'un parti doit avoir au moins 6% des voix après le décompte au niveau de l'ensemble des circonscriptions pour avoir droit à la distribution des sièges. L'option est encore plus contraignante qu'un seuil de 6% au niveau de la circonscription qui peut permettre à un petit parti de décrocher la députation par le biais de candidats ayant les moyens. Au-delà du seuil de représentativité, c'est le branle-bas de combat au sein de la plupart des formations politiques. Il faut qu'ils tranchent, dans les plus brefs délais, quant aux profils à mettre en avant aux prochaines élections. L'octroie des accréditations sera d'autant plus difficile que les attentes des cadres, femmes et jeunes sont grandes.



Par Mostafa Bentak
Elections législatives La polémique reprend sur la date, les listes et le seuil de représentativité Lemati44 Publié le : 10.08.2011 | 23h05
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