Connexion
CE QUE JE PROPOSE
Jeu 19 Nov - 21:07 par Admin
POUR LE RÈGLEMENT DU FORUM , JE SUIS DANS L'IMPOSSIBILITÉ DE VOUS OFFRIR UN RÈGLEMENT A SUIVRE TANS QUE C'EST VOTRE FORUM , ALORS LE RESPECT DE L'AUTRE EST LE PRINCIPE , ET JE SUIS SUR QU'ENTRE COLLÈGUES LA CONVIVIALITÉ EST DE MISE .
Commentaires: 0
Derniers sujets
Qui est en ligne ?
Il y a en tout 25 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 25 Invités Aucun
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 78 le Ven 2 Fév - 4:32
visiteurs
Élections législatives: Les partis arrêtent les listes de leurs candidats
Page 1 sur 1
Élections législatives: Les partis arrêtent les listes de leurs candidats
L'Alliance pour la démocratie ne devrait pas présenter de candidats communs tout comme la Koutla qui se contentera d'un programme électoral commun.
À quelques semaines des élections anticipées, plusieurs partis politiques ont déjà arrêté la liste de leurs candidats. Même si les listes n'ont pas été rendues publiques encore, l'on sait d'ores et déjà que de nombreux cadres des partis politiques vont briguer de nouveaux mandats dans la Chambre des représentants. C'est le cas notamment au PJD (Parti de la justice et du développement), à l'USFP (Union socialiste des forces populaires), au MP (Mouvement populaire), au RNI (Rassemblement national des indépendants) et à l'Istiqlal. Car en dépit des informations qui ont circulé sur le renoncement de certains hommes politiques à briguer de nouveaux des mandats au Parlement, il s'est avéré par la suite que les personnes concernées se présenteront bel et bien lors du prochain scrutin. Le cas des députés du PJD est un parfait exemple. Quid alors des alliances politiques existantes sur l'échiquier politique national ? Les partis membres des ces alliances travaillent chacun pour la désignation de ses propres candidats. Cela veut dire que la présentation de candidats communs reste un scénario éloigné. Ainsi, l'Alliance pour la démocratie qui regroupe huit formations politiques ne va pas présenter de listes communes.
C'est Mohamed Abied, secrétaire général de l'UC (Union constitutionnelle), dont le parti est membre fondateur de l'alliance pour la démocratie qui le confirme au «Matin». «Je ne pense pas que les partis membres de l'Alliance vont présenter des candidats communs dans les prochaines élections pour le simple raison que le mode de scrutin actuel ne le permet pas. Par contre, je n'écarte pas la présentation de candidats communs dans quelques circonscriptions à titre symbolique», a-t-il affirmé. Cependant, l'alliance va aborder les législatives avec un programme électoral commun. C'est le cas également pour la Koutla dont les partis membres, à savoir l'Istiqlal, l'USFP et le PPS (Parti du progrès et du socialisme) travaillent actuellement à l'élaboration d'un programme électoral. Les réunions se suivent entre les cadres des partis de la Koutla pour y mettre les dernières retouches, même si chaque parti membre dans l'une des plus anciennes alliances politiques au Maroc devra faire cavalier seul aux élections législatives. Autrement, la présentation de candidats communs est de facto écartée. Parmi les raisons invoquées, on retrouve bien évidement le mode de scrutin, mais les observateurs affirment que d'autres facteurs existent également. Il s'agit notamment des divergences qui peuvent surgir entre les membres de la Koutla.
Le choix des candidats peut s'avérer une tâche difficile au sein d'un même parti, on peut donc imaginer les difficultés potentielles lorsque trois partis décident de présenter des candidats communs. Il faut dire également que la coopération entre les membres de la Koutla demeure limitée en dehors de la période des élections et de la formation du gouvernement. Les trois partis avaient présenté en solo leurs propositions pour la réforme constitutionnelle.
Ils ont également peiné à accorder leurs violons lors du débat sur les textes électoraux. Des divergences sont même apparues sur certaines questions.
En effet, l'Istiqlal et l'USFP étaient pour un seuil électoral élevé sans se soucier de l'impact d'une telle mesure sur leur allié, le PPS, qui était contre le relèvement de ce seuil. À noter que lors des élections législatives de 2007, le PJD s'était allié avec le Parti des Forces citoyennes. Les deux formations avaient alors pris la décision de présenter des candidats communs. Mais les résultats n'ont pas été très satisfaisants et l'alliance a été mise au placard.
Par Mohamed Badrane
Publié le : 18.10.2011 | 17h25
À quelques semaines des élections anticipées, plusieurs partis politiques ont déjà arrêté la liste de leurs candidats. Même si les listes n'ont pas été rendues publiques encore, l'on sait d'ores et déjà que de nombreux cadres des partis politiques vont briguer de nouveaux mandats dans la Chambre des représentants. C'est le cas notamment au PJD (Parti de la justice et du développement), à l'USFP (Union socialiste des forces populaires), au MP (Mouvement populaire), au RNI (Rassemblement national des indépendants) et à l'Istiqlal. Car en dépit des informations qui ont circulé sur le renoncement de certains hommes politiques à briguer de nouveaux des mandats au Parlement, il s'est avéré par la suite que les personnes concernées se présenteront bel et bien lors du prochain scrutin. Le cas des députés du PJD est un parfait exemple. Quid alors des alliances politiques existantes sur l'échiquier politique national ? Les partis membres des ces alliances travaillent chacun pour la désignation de ses propres candidats. Cela veut dire que la présentation de candidats communs reste un scénario éloigné. Ainsi, l'Alliance pour la démocratie qui regroupe huit formations politiques ne va pas présenter de listes communes.
C'est Mohamed Abied, secrétaire général de l'UC (Union constitutionnelle), dont le parti est membre fondateur de l'alliance pour la démocratie qui le confirme au «Matin». «Je ne pense pas que les partis membres de l'Alliance vont présenter des candidats communs dans les prochaines élections pour le simple raison que le mode de scrutin actuel ne le permet pas. Par contre, je n'écarte pas la présentation de candidats communs dans quelques circonscriptions à titre symbolique», a-t-il affirmé. Cependant, l'alliance va aborder les législatives avec un programme électoral commun. C'est le cas également pour la Koutla dont les partis membres, à savoir l'Istiqlal, l'USFP et le PPS (Parti du progrès et du socialisme) travaillent actuellement à l'élaboration d'un programme électoral. Les réunions se suivent entre les cadres des partis de la Koutla pour y mettre les dernières retouches, même si chaque parti membre dans l'une des plus anciennes alliances politiques au Maroc devra faire cavalier seul aux élections législatives. Autrement, la présentation de candidats communs est de facto écartée. Parmi les raisons invoquées, on retrouve bien évidement le mode de scrutin, mais les observateurs affirment que d'autres facteurs existent également. Il s'agit notamment des divergences qui peuvent surgir entre les membres de la Koutla.
Le choix des candidats peut s'avérer une tâche difficile au sein d'un même parti, on peut donc imaginer les difficultés potentielles lorsque trois partis décident de présenter des candidats communs. Il faut dire également que la coopération entre les membres de la Koutla demeure limitée en dehors de la période des élections et de la formation du gouvernement. Les trois partis avaient présenté en solo leurs propositions pour la réforme constitutionnelle.
Ils ont également peiné à accorder leurs violons lors du débat sur les textes électoraux. Des divergences sont même apparues sur certaines questions.
En effet, l'Istiqlal et l'USFP étaient pour un seuil électoral élevé sans se soucier de l'impact d'une telle mesure sur leur allié, le PPS, qui était contre le relèvement de ce seuil. À noter que lors des élections législatives de 2007, le PJD s'était allié avec le Parti des Forces citoyennes. Les deux formations avaient alors pris la décision de présenter des candidats communs. Mais les résultats n'ont pas été très satisfaisants et l'alliance a été mise au placard.
Par Mohamed Badrane
Publié le : 18.10.2011 | 17h25
Sujets similaires
» Législatives Après les élections... les élections
» Élections législatives : les partis et les hommes
» Élections législatives : 16 petits partis politiques s’unissent
» Elections législatives: Le jour du test
» Elections Comment les listes seront révisées
» Élections législatives : les partis et les hommes
» Élections législatives : 16 petits partis politiques s’unissent
» Elections législatives: Le jour du test
» Elections Comment les listes seront révisées
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jeu 23 Mai - 12:37 par Admin
» الأزمة تضرب قطاع الإسمنت والمبيعات تتراجع بأزيد من 16 %
Mer 22 Mai - 21:54 par Admin
» Habitat: Une circulaire pour alléger les procédures
Mer 22 Mai - 21:25 par Admin
» Le comportement des consommateurs bientôt passé au crible
Mar 21 Mai - 17:45 par Admin
» Réforme de la compensation au Maroc : qui profitera des aides directes ?
Mar 21 Mai - 17:42 par Admin