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Élections législatives : La majorité des partis demande une période de grâce
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Élections législatives : La majorité des partis demande une période de grâce
Les préparatifs des élections législatives ont été au centre d’une réunion entre le ministre de l’Intérieur et les responsables de certains partis politiques tenue mercredi.
Le ministère de l’Intérieur entame les consultations avec les partis politiques. Taïb Cherkaoui a tenu une réunion hier matin, à Rabat, avec le Parti de la justice et du développement (PJD), le Mouvement populaire (MP) et le Parti du progrès et du socialisme (PPS). A l’ordre du jour de cette réunion restreinte, figure la discussion à propos de toutes les questions intéressant l’étape post-référendum et les préparatifs des prochaines élections législatives. Selon des sources concordantes, le ministre de l’Intérieur devra convoquer, dans les prochains jours, d’autres partis politiques pour le même sujet. Contactés par ALM, les dirigeants des trois partis politiques ayant assisté à cette réunion de concertation se sont contentés de déclarations sommaires. «Les consultations sont en cours entre le ministère de l’Intérieur et les partis politiques essentiels», note Nabil Benabdellah, secrétaire général du PPS. «La réunion d’hier entre dans le cadre des consultations continues entre les partis politiques et le ministère de l’Intérieur. Lors de cette rencontre, nous avons discuté de tous les sujets qui intéressent l’étape post-référendum, notamment les réformes politiques et les préparatifs pour les prochaines élections législatives. Sinon aucune décision n’a été prise lors de cette réunion», souligne, pour sa part, Abdelilah Benkirane, secrétaire général du PJD. Mohand Laenser, secrétaire général du MP, a indiqué, quant à lui, que «les textes concernant le Parlement qui sont en cours de préparation et l’étape de l’après-référendum constitutionnel ont été au centre des consultations avec le ministre de l’Intérieur lors de cette réunion. Il ne s’agit que d’une réunion informelle. Aucune décision n’a été prise. Il y aura certainement dans les jours à venir des réunions avec l’ensemble des partis politiques dans le cadre des consultations». Parmi les questions abordées lors de cette réunion figurent les prochaines élections législatives qui devront avoir lieu de manière anticipée. A l’heure où certains partis politiques sont pour le maintien de la date du mois d’octobre prochain, notamment le parti de l’Istiqlal, d’autres formations appellent au report. Ainsi, le PJD et l’Union socialiste des forces populaires (USFP) adoptent pratiquement la même position, en appelant à des élections au printemps de 2012. «La date d’organisation des prochaines élections législatives est objet de discussions. Le PJD demande le report de ces élections. Il est difficile d’organiser des élections en hiver ou en automne en raison des conditions climatiques. On ne pourra pas organiser une campagne électorale avec des routes coupées. En plus, la préparation des textes et les procédures internes des partis vont prendre du temps, c’est pour cela qu’il est difficile d’organiser des élections en octobre 2011. L’USFP et certains membres du parti de l’Istiqlal sont également pour cette thèse», précise Lahcen Daoudi, secrétaire général-adjoint du PJD. «La question qui se pose est celle de savoir si on sera vraiment capable d’organiser des élections en octobre avec toutes ces réformes qui sont en cours. On ne doit pas avoir juste l’intention de fermer la parenthèse des élections. L’objectif est de réconcilier les Marocains avec l’action politique à travers ces élections. Ce n’est pas le «quand» qui doit nous motiver mais le «comment»», fait observer Hassan Tarek, membre du bureau politique de l’USFP. «Les élections ne pourront pas avoir lieu en octobre en raison de certaines difficultés. Tout d’abord, il y aura des consensus à faire et des procédures qui prendront du temps, notamment le dépôt des candidatures. En plus, ça sera difficile d’organiser des élections aux mois de novembre, décembre et janvier en raison des conditions climatiques. Le printemps 2012, au mois de mars ou avril, est une date raisonnable», indique Hassan Tarek. Ainsi, les élections législatives anticipées ne font toujours pas l’unanimité parmi les partis politiques. Lors des prochaines réunions entre l’Intérieur et les partis politiques, la date sera certainement fixée dans les semaines à venir.
Le 07-07-2011 à 08:46
Par : Mohamed Aswab
Le ministère de l’Intérieur entame les consultations avec les partis politiques. Taïb Cherkaoui a tenu une réunion hier matin, à Rabat, avec le Parti de la justice et du développement (PJD), le Mouvement populaire (MP) et le Parti du progrès et du socialisme (PPS). A l’ordre du jour de cette réunion restreinte, figure la discussion à propos de toutes les questions intéressant l’étape post-référendum et les préparatifs des prochaines élections législatives. Selon des sources concordantes, le ministre de l’Intérieur devra convoquer, dans les prochains jours, d’autres partis politiques pour le même sujet. Contactés par ALM, les dirigeants des trois partis politiques ayant assisté à cette réunion de concertation se sont contentés de déclarations sommaires. «Les consultations sont en cours entre le ministère de l’Intérieur et les partis politiques essentiels», note Nabil Benabdellah, secrétaire général du PPS. «La réunion d’hier entre dans le cadre des consultations continues entre les partis politiques et le ministère de l’Intérieur. Lors de cette rencontre, nous avons discuté de tous les sujets qui intéressent l’étape post-référendum, notamment les réformes politiques et les préparatifs pour les prochaines élections législatives. Sinon aucune décision n’a été prise lors de cette réunion», souligne, pour sa part, Abdelilah Benkirane, secrétaire général du PJD. Mohand Laenser, secrétaire général du MP, a indiqué, quant à lui, que «les textes concernant le Parlement qui sont en cours de préparation et l’étape de l’après-référendum constitutionnel ont été au centre des consultations avec le ministre de l’Intérieur lors de cette réunion. Il ne s’agit que d’une réunion informelle. Aucune décision n’a été prise. Il y aura certainement dans les jours à venir des réunions avec l’ensemble des partis politiques dans le cadre des consultations». Parmi les questions abordées lors de cette réunion figurent les prochaines élections législatives qui devront avoir lieu de manière anticipée. A l’heure où certains partis politiques sont pour le maintien de la date du mois d’octobre prochain, notamment le parti de l’Istiqlal, d’autres formations appellent au report. Ainsi, le PJD et l’Union socialiste des forces populaires (USFP) adoptent pratiquement la même position, en appelant à des élections au printemps de 2012. «La date d’organisation des prochaines élections législatives est objet de discussions. Le PJD demande le report de ces élections. Il est difficile d’organiser des élections en hiver ou en automne en raison des conditions climatiques. On ne pourra pas organiser une campagne électorale avec des routes coupées. En plus, la préparation des textes et les procédures internes des partis vont prendre du temps, c’est pour cela qu’il est difficile d’organiser des élections en octobre 2011. L’USFP et certains membres du parti de l’Istiqlal sont également pour cette thèse», précise Lahcen Daoudi, secrétaire général-adjoint du PJD. «La question qui se pose est celle de savoir si on sera vraiment capable d’organiser des élections en octobre avec toutes ces réformes qui sont en cours. On ne doit pas avoir juste l’intention de fermer la parenthèse des élections. L’objectif est de réconcilier les Marocains avec l’action politique à travers ces élections. Ce n’est pas le «quand» qui doit nous motiver mais le «comment»», fait observer Hassan Tarek, membre du bureau politique de l’USFP. «Les élections ne pourront pas avoir lieu en octobre en raison de certaines difficultés. Tout d’abord, il y aura des consensus à faire et des procédures qui prendront du temps, notamment le dépôt des candidatures. En plus, ça sera difficile d’organiser des élections aux mois de novembre, décembre et janvier en raison des conditions climatiques. Le printemps 2012, au mois de mars ou avril, est une date raisonnable», indique Hassan Tarek. Ainsi, les élections législatives anticipées ne font toujours pas l’unanimité parmi les partis politiques. Lors des prochaines réunions entre l’Intérieur et les partis politiques, la date sera certainement fixée dans les semaines à venir.
Le 07-07-2011 à 08:46
Par : Mohamed Aswab
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