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Attributions des ministères La montée en puissance de Boulif
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Attributions des ministères La montée en puissance de Boulif
-Un super ministère, perçu comme le numéro 2 du gouvernement
-Economie sociale, investissement, anti-corruption…
-Autorité d’instruire toute affaire confiée par le chef de gouvernement
L’AFFAIRE de la répartition des attributions au sein du gouvernement est terminée. Après les 18 départements début février, les prérogatives des autres ministères sont tombées. Le Bulletin officiel, daté du 12 mars, a complété la liste. Un premier BO a publié la liste de 18 départements début février. Ainsi, le ministre monté en puissance, reste incontestablement Najib Boulif. Abdelilah Benkirane lui a tracé un super ministère, qui s’apparente à un numéro 2 du gouvernement même si Abdallah Baha occupe le poste de ministre d’Etat. Est-ce une revanche? Car, dans la première configuration du gouvernement, Boulif a été proposé comme ministre de l’Economie et des Finances. Mais un veto du Cabinet royal l’a relégué au département des Affaires générales et de la gouvernance. Mais on se rattrape dans les attributions. La gourmandise dont il a fait preuve depuis le début a fini par payer. Ainsi, même si son ministère a perdu les «Affaires économiques», ses prérogatives se sont étendues. La Caisse de compensation, l’Office de développement des coopératives, la direction de la concurrence et des prix et surtout l’économie sociale. C’est le ministre des Affaires générales et de la gouvernance qui sera chargé, en collaboration avec ses collègues, de mettre en place une vision globale de la politique gouvernementale en matière de développement de l’investissement et de l’entreprise. Conformément à l’article 3 du décret d’attribution, Mohamed Najib Boulif sera chargé de proposer toutes les mesures pour renforcer les valeurs d’honnêteté, de transparence et de bonne gouvernance. Dans son escarcelle, l’amélioration de l’environnement des affaires, la lutte contre la corruption dans la gestion des affaires publiques et le suivi de sa mise en œuvre. C’est à lui que reviendra la responsabilité de mettre en place les mécanismes de suivi et d’évaluation de l’efficacité des politiques et des programmes publics. Le degré de complémentarité et de cohérence de ces politiques sera de sa responsabilité.
Boulif sera chargé du suivi des différents rapports émanant des instances chargées du contrôle de la gestion publique comme ceux de l’Inspection générale des Finances (IGF) ou ceux de la Cour des comptes. Idem pour les organisations internationales tournées vers le climat des affaires et la bonne gouvernance.
Selon l’article 4 du décret, Abdelilah Benkirane lui a également délégué d’autres missions. Ainsi, Boulif participera à la préparation de la politique économique et les stratégies sectorielles, en collaboration avec les ministères concernés. Il aura l’autorité d’instruire toute affaire que lui confiera le chef de gouvernement. Il devra également préparer et suivre la politique gouvernementale dans le domaine de la concurrence.
Najib Boulif conserve la responsabilité notamment des relations avec la Banque Mondiale, la banque internationale pour la reconstruction et le développement, les agences multilatérales de garantie des investissements. Il assurera la coordination avec l’OCDE. En cas d’absence de Najib Boulif, le chef de gouvernement sera le seul habilité à exercer ces prérogatives.
Baraka, patron des Finances
LE même décret fixe les attributions du ministère de l’Economie et des Finances. Ainsi, Nizar Baraka en est le chef. Mais le ministre délégué, en charge du Budget Idriss Azami, prendra en charge la préparation, la présentation et le suivi de la mise en oeuvre de la loi de Finances. Selon le décret, toutes les directions sont à la disposition du ministre délégué
M. C.
Édition N° 3741 du 2012/03/15
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