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Gouvernement Comment éviter un bug loi de Finances
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Gouvernement Comment éviter un bug loi de Finances
-Une course contre la montre pour rattraper le retard
-Le Budget rassure
-Les opérateurs redoutent les reports de crédits
En attendant l’adoption du projet de loi de Finances, la nouvelle équipe gouvernementale se contentera d’un simple budget de fonctionnement! Le cas échéant, la crainte des retards dans les délais de paiement se fera encore plus persistante, même si l’une des plus grandes corporations, attributaires des marchés publics, en l’occurrence la Fédération du BTP (FNBTP), croit qu’il n’y a pas péril en la demeure.
Comme l’atteste du reste le propos de son président, Bouchaïb Benhamida: «il n’y a pas de crainte à avoir quant au retard de l’adoption de la loi de Finances. J’espère seulement qu’il n’y aura pas de reports de crédits, comme c’était le cas l’année dernière avec des interruptions de payement dans certains départements ministériels comme celui de l’Eau, de décembre à mai». Une situation que Benhamida trouve paradoxale, car «avec le système informatisé de gestion intégrée de la dépense (GID), ces reports devraient être automatiques», fait-il constater. Pourtant, ici et là, on persiste à croire que «l’impact de cette situation d’attentisme pèse déjà lourdement dans la trésorerie des adjudicataires des commandes publiques». La réforme du décret sur les marchés de l’Etat, intervenue en février 2007, constitue certes une grande avancée dans le processus de modernisation des procédures et de renforcement de la transparence et de l’efficacité dans la passation, le contrôle et la gestion de la commande publique. Mais elle ne suffit pas pour anticiper les conséquences de la situation conjoncturelle actuelle. Pas de mauvais sang à se faire, résume le propos du directeur actuel du Budget. Car, rappelle Faouzi Lekjaa, que contrairement à ce qu’on a dit ici et là, «le dernier décret adopté par le dernier conseil du gouvernement sortant ouvre aussi bien les crédits de fonctionnement que les crédits d’investissement». De ce fait, «il n’y a aucun impact sur l’investissement, qui va se dérouler conformément aux prévisions de l’Etat, en attendant l’adoption finale du projet de loi de Finances».
En clair, les différents ministères disposent des morasques budgétaires normales, en attendant cette adoption. Même si le projet venait à être adopté en mars ou avril, il n’y aura aucun impact sur le déroulement de l’activité économique et les investissements. Chez nombre d’analystes économiques, la tonalité est tout autre. Pour le Pr. Hammad Kassal, il ne fait pas de doute que «l’attente d’avant et d’après les élections, pour la formation du gouvernement, s’est traduite forcément par un rallongement des délais de paiement». D’autant plus, insiste-t-il, «je ne pense pas que la loi de Finances sera prête avant mars», compte tenu des longues négociations attendues pour l’approbation du programme du gouvernement. Pendant ce temps, les établissements publics, eux, restent à la ramasse.
Double emploi, dites-vous!
Un ministre délégué chargé du Budget, Idrissi Azami Al Idirissi, et un directeur du Budget, Faouzi Lekjaa. Un doublon? Un double emploi? Ni l’un, ni l’autre. Au ministère des Finances on botte en touche. Ici, dit-on, on a l’habitude de travailler en équipe. Mais «c’est l’opinion publique qui se trompe croyant que le budget se limitait seulement à la direction du Budget», confie à L’Economiste Lekjaa. C’est avant tout, les ressources, leurs affectations, les équilibres macroéconomiques… Ainsi, quand on s’amuse à répertorier les intervenants dans la confection du budget, c’est-à-dire ce qui lui donne un sens, on se rend compte qu’en plus de la direction du Budget, il y a six à sept autres directions qui y participent.Bachir THIAM
Édition N° 3694 du 2012/01/06
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